Résidence Sepia Bures sur Yvette Oceanis
Posté: 22 Mar 2017, 14:44
Bonjour,
Je fais partie des tristes acquéreurs d'un logement Vefa à Bures sur Yvette, dans la résidence Sépia.
Cette résidence devait être livrée en juin 2017 mais la construction a été stoppée et à ce jour le chantier est reparti à zéro.
Alors si comme moi vous souhaitez retrouver d'autres acquéreurs pour faire valoir nos droits, merci de répondre à ce message.
Et si vous avez des conseils à me donner, je suis preneuse !
Voici les faits : le premier appel de fond avec attestation de fondations achevées a été fait alors que les fondations n'étaient pas achevées.
je m'en suis rendue compte lorsque l'on m'a parlé d'un article dans le Parisien : le chantier était inondé et les terrains alentours ont glissé, certaines maisons voisines ont été fissurées, des occupants relogés... Bref la cata !
Un deuxième appel de fond m'est adressé avec une attestation d'achèvement des murs. Une fois de plus c'était faux et cette fois je refuse le paiement.
Depuis un arrêté municipal interdit la poursuite du chantier. La mairie rejetant la faute au constructeur qui lui assure avoir fait les analyses nécessaires et rejette la faute sur la mairie qui aurait dû l'informer de la présence d'une source.
Et nous dans tout ça, on voit la fin de la période des intérêts intercalaires s'approcher et la perspective d'une catastrophe financière...
À bientôt peut être.
Je fais partie des tristes acquéreurs d'un logement Vefa à Bures sur Yvette, dans la résidence Sépia.
Cette résidence devait être livrée en juin 2017 mais la construction a été stoppée et à ce jour le chantier est reparti à zéro.
Alors si comme moi vous souhaitez retrouver d'autres acquéreurs pour faire valoir nos droits, merci de répondre à ce message.
Et si vous avez des conseils à me donner, je suis preneuse !
Voici les faits : le premier appel de fond avec attestation de fondations achevées a été fait alors que les fondations n'étaient pas achevées.
je m'en suis rendue compte lorsque l'on m'a parlé d'un article dans le Parisien : le chantier était inondé et les terrains alentours ont glissé, certaines maisons voisines ont été fissurées, des occupants relogés... Bref la cata !
Un deuxième appel de fond m'est adressé avec une attestation d'achèvement des murs. Une fois de plus c'était faux et cette fois je refuse le paiement.
Depuis un arrêté municipal interdit la poursuite du chantier. La mairie rejetant la faute au constructeur qui lui assure avoir fait les analyses nécessaires et rejette la faute sur la mairie qui aurait dû l'informer de la présence d'une source.
Et nous dans tout ça, on voit la fin de la période des intérêts intercalaires s'approcher et la perspective d'une catastrophe financière...
À bientôt peut être.